mardi 9 mars 2010

Silence radio.


Je sais très bien ce que vous allez me dire...

Et pour tout vous dire, oui, il semblerait que je sois aussi peu bavarde sur ce blog que je le suis dans la vraie vie. Mais le fait est que je manque cruellement d'inspiration et de motivation en ce moment. Oui, je pourrais parler des 1.659.322 catastrophes qui se sont déroulées ces derniers temps (et il y aurait matière à débattre avec toutes ces catastrophes naturelles, ferrovières, aériennes, ces pétages de plombs identitaires et autres illustres morts). Oui, je pourrais m'étendre un peu plus sur mes états d'âme et mes humeurs qui ne cessent d'osciller entre le très haut et le très bas en ce moment, à tel point que ça me donne le tournis. Oui, je pourrais pondre des pages entières sur moi, sur vous et sur ce putain de chaos au milieu duquel on est censés bâtir tout un tas de choses.

Mais je préfère ne pas m'exprimer quand la seule chose qui soit plus ou moins claire dans mon esprit est que justement, rien n'est clair là-dedans.


Alors je me tais et je vous dis à la revoyure!



A.

Ceci est un commentaire inutile



Dire qu'il y a une semaine à peine, j'étais là, à (presque ne faire que) me dorer la pilule sous 1000 palmiers pointant fièrement vers le ciel trop bleu d'Alicante, en écoutant le bruit des vagues, des "R" roulés et des ballons qui rebondissent violemment sur les bras endoloris de volleyeurs du dimanche, me préparant mentalement à dévorer des tas de tapas généreusement arrosées de bière (pas fameuse mais peu chère) le soir même sans aucun scrupule en me disant que, putain, les vacances, c'était quand même le pied...


Raaaaah, je suis aussi verte que la soupe au pois infecte que je suis en train de me taper.